Du local à l’universel

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«  Le signe du geste.
L’homme construit et aménage les lieux de ses gestes sédentaires : oeuvrer, s’asseoir, s’allonger…et passer d’un geste à l’autre. L’établi, le banc, la porte ou la rue sont les objets de ces gestes.
Architecture ! Urbanisme ! C’est quand l’objet, dans le geste qu’il sert, est, de lui-même, son propre signe. »

Du local à l’universel vient à la rencontre d’un homme, un homme qui se trouve être architecte. Ce récit de vie raconte l’évolution d’une pensée, depuis les confins sahariens jusqu’à l’ensemble du bassin méditerranéen. Toute sa vie, l’auteur a appris à voir le dissimulé d’un bâtiment, à comparer la pertinence du geste savant, à celle du savoir-faire.

En l’an 2000, Vincent Bertaud du Chazaud a pris l’initiative de provoquer une longue série d’entretiens avec André Ravéreau, de les enregistrer puis de les retranscrire. Sept ans plus tard, le sens qui palpitait déjà entre les pages, abouti sur une publication ; il s’agit ici d’un échange, porteur d’un message pour les nouvelles générations d’architectes.

Propos recueillis par Vincent Bertaud du Chazaud et Maya Ravéreau

Éditions du Linteau, Paris, 2007 – 148 pages
Disponible ici.